Suis-je ?... Suis-je enfant de Brassens, moi timide qui doute ?... Fils d'un lointain Villon égaré, en déroute ? Ai-je un papa Verlaine, au vent mauvais, sa main Avec ses jetés d'encre ancrés sur parchemin ?... Suis-je auteur de bons mots, de ceux qui font la ronde, Comme Victor Hugo la légende féconde Ou les chansons d'un Brel, ou d'un Francis Cabrel, Tous ces jongleurs du verbe obsédés textuels ?... Suis-je plume qui vole au secours de la langue, Qui chatouille l'esprit, lui ...
Auteur : JP_ FASSBENDER Date : 24/10/2017
La porte de l'enfer François-Auguste-René Rodin (1840 - 1917) est né le 12 novembre 1840, à Paris, et mort à Meudon, (France) le 17 novembre 1917. Tout jeune, Auguste Rodin impose sa vocation artistique à son père et entre à l'Ecole impériale. Refusé aux Beaux-Arts, il devient maçon statuaire et fait de la mise au point, dégrossit les marbres, les pierres, réalise des ornements des bijoux chez un orfèvre (jusqu'à l'âge de cinquante ans, il connaît les ennuis de la pauvreté. En 1864, Auguste Rodin rencontre Rose Beuret qui partagera sa vie jusqu'à sa mort, et dont il a un ...
Auteur : Jean-Marc PAMBRUN Date : 07/06/2017
L'homme des grands espaces Issu d'une famille de banquiers d'origine basque, Jules Supervielle naquit à Montevideo en Uruguay en 1884. Très vite orphelin quand ses parents furent emportés par le choléra, il fut élevé par des membres de sa famille d'abord en Uruguay, puis fut envoyé en France. La perte de ses parents influencera sa sensibilité et lui inspirera des oeuvres sur les thèmes du manque, de l'absence et de la mort. Une fois en France, le jeune Supervielle - qui parlait le français, l'anglais, l'espagnol et le portugais - découvrit les poètes du dix-neuvième ...
Auteur : Jean-Marc PAMBRUN Date : 20/05/2017
Je dédie cette composition à Philippe Petit, ami au c½ur généreux, et passionné de poésies et notamment de Victor Hugo Victor… Olympio, sans tristesse, où une étoile illustre Brille encore aujourd’hui par la beauté des vers… Classique dans le style avec son univers Tantôt fleur et dentelle et tantôt monde rustre. C’était sa plume où l’encre avait beaucoup coulé, Probablement cet homme était vraiment hors normes Pour nous laisser ainsi une ½uvre assez énorme, ...
Auteur : JP_ FASSBENDER Date : 02/03/2017
Comment ne pas commencer sans avoir une pensée pour Philippe Petit. Au lendemain de son grand départ, je lui avais écrit ceci : "Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis" Victor Hugo Cher Philippe, La vie n’est pas éternelle, elle nous éprouve, nous secoue, souvent elle est cruelle, et les maladies la rendent maussade, mais aussi la vie est la vie, avec l’amour, l’amitié, le partage, la complicité et la jouissance tout simplement, dans l’instant présent, de savourer nos ...
Auteur : JP_ FASSBENDER Date : 22/01/2017
Sérénade opus 132 (andante) Leonhard Von CALL El lago MONPOU The heartland John BARRY Gifts of nature John BARRY Mélodie en fa RUBINSTEIN The Crimson Petal QUILTER Les pauvres gens extrait de La Légende des siècles de Victor HUGO dit par Louis SEIGNER
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Traces de Lumières
Emissions Traces de Lumière
/ Emission Traces de lumière du 05 Juin 2017 : Tanelle Boni
Auteur : Christian MALAPLATE Date : 07/06/2017
Jules Supervielle – La fable du monde Issu d'une famille de banquiers d'origine basque, Jules Supervielle naquit à Montevideo en 1884. Très vite orphelin, ses parents furent emportés par le choléra, il fut élevé par des membres de sa famille d'abord en Uruguay, puis en France. La perte de ses parents influencera sa sensibilité et lui inspirera des ½uvres sur les thèmes du manque, de l'absence et de la mort. En France, le jeune Supervielle, qui déjà parlait le français, l'anglais, ...
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Traces de Lumières
Emissions Traces de Lumière
/ Emission Traces de lumière du 08 Mail 2017 : Jules Supervielle
Auteur : Christian MALAPLATE Date : 26/05/2017
Victor Hugo, il me semble évident que nous devons être beaucoup à l'apprécier, à vouloir étudier son parcours. Je m'y essaie comme je le peux dans ce forum CLIC, ci-dessous http://www.georgesbrassens-gb.eu/index.php?tg=threads&forum=6 C'est sans prétention, avec la simplicité de me laisser guider par ma passions et mes recherches sans doute "moyennement" pointues. Bonne Découverte pour celles er ceux qui le désirent. Bien Amicalement.
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Les articles de JP Sitting Bull
Au clair de la plume
/ Victor...
Auteur : JP_ FASSBENDER Date : 02/03/2017
Figure légendaire de l’opéra, Giuseppe VERDI demeure l’un des plus grands compositeurs lyriques de tous les temps et incarne la lutte du peuple italien pour unifier son pays et le libérer du joug autrichien. Cet héritier de la longue tradition lyrique italienne donne à l’opéra une orientation nouvelle et le propulse au rang de drame musical. Ses chefs-d’½uvre qui touchent droit au c½ur en exprimant les ressorts les plus intimes de l’âme humaine enchantent encore ...
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Prélude
Emissions Prélude
/ Emission Prélude du 9 Janvier 2017 : Giuseppe Verdi
Auteur : Christian MALAPLATE Date : 09/02/2017
Pour moi, la fleur au fusil me rappelle les poilus de la guerre 14-18 du siècle passé, qui malgré la peur au ventre étaient persuadés, animés d’un patriotisme tel que le mode de pensée populaire fonctionnait à l’époque, allaient faire une "petite guerre" pour défendre la nation. Slogan de propagande, ou chez les intellectuels propos ironiques. Pour moi, la dualité est là : pourquoi tant d’armes et pourquoi apprendre à tuer ? Pour le reste, abolir conflits ou violence, ...
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Au clair de la plume
/ La Fleur au Fusil
Auteur : JP_ FASSBENDER Date : 29/01/2017
Les copains d'accord's ont toujours à leur répertoire la montagne de Jean Ferrat. La voici chantée en sol mineur, dans le bassin houiller de Combes Aubin Decazeville, où des événements tragiques avaient inspiré Victor Hugo et Zola.http://copainsdaccords.musicblog.fr/3494759/HUGO-ZOLA-FERRAT-en-sol-mineur/La montagnehttps://www.youtube.com/watch?v=vo1akixALwI
Auteur : André Bec Date : 19/02/2015
Je remercie Philippe PETIT de cet éclairage très approfondi de la pensée de Victor HUGOPoèmes de Victor HUGO chantés par :Je ne songeais pas à Rose Julos BEAUCARNEDemain l'aube Marc ROBINEGastilbelza James OLLIVIERChanson du proscrit Jean-Louis CAILLATLa chanson Marc ROBINEMusique :Ouverture Les Noces de Figaro MOZARTInfanzia Antonio FORCIONELe rêve SAINT-PREUXAnna Antonio FORCIONE
Auteur : Christian MALAPLATE Date : 07/02/2015
Les amis, Pour écouter l'émission : http://www.Tracesdelumiere.fr/emissions_traces/Traces_20150223_Victor_HUGO.mp3 Cette émission était consacrée à : Victor HUGO autour de Cette musique que tout homme a en soi Merci de donner votre senti autour de cette émission à tout de suite Philippe PETIT
Auteur : Philippe PETIT Date : 05/02/2015
À Albert Dürer Dans les vieilles forêts où la sève à grands flots Court du fût noir de l'aulne au tronc blanc des bouleaux, Bien des fois, n'est-ce pas ? à travers la clairière, Pâle, effaré, n'osant regarder en arrière, Tu t'es hâté, tremblant et d'un pas convulsif, O mon maître Albert Dürer, ô vieux peintre pensif ! On devine, devant tes tableaux qu'on vénère, Que dans les noirs taillis ton ½il visionnaire Voyait distinctement, par l'ombre recouverts, Le faune aux doigts palmés, le sylvain aux yeux verts, Pan, qui revêt de fleurs l'antre où tu te recueilles, Et l'antique dryade aux ...
Auteur : JP_ FASSBENDER Date : 15/01/2015
Lors des répétitions précédant la ''première'' d'Hernani (25 février 1830), on rapporte des discussions fortes qui opposaient Victor Hugo à Mademoiselle Mars, sa principale interprète. Celle-ci, en effet, aurait bien voulu modifier quelques vers qui sonnaient bizarrement à son oreille d'actrice habituée au style classique. Victor Hugo lui lança : « Madame, vous êtes une femme de grand talent, mais... je dois vous apprendre je suis un homme de grand talent. Tenez-le-vous pour dit et traitez-moi en conséquence ! » Malgré la cinquantaine dépassée, Mademoiselle Mars fit ...
Auteur : JP_ FASSBENDER Date : 04/01/2015
Type : Article
HUGO ET BRASSENS Je vis en poésie à l'ombre de deux princes L'un se nomme Hugo l'autre Georges Brassens L'un est un océan une lame un récif Et l'autre un fleuve immense où dansent des esquifs Poète du tumulte et de la démesure Poète pacifique aux secrètes blessures L'un s'adresse à la foule au ciel aux profondeurs L'autre chante en sourdine un petit air frondeur Tous deux aimaient Paris les grisettes les poulbots L'un chanta Notre-Dame et l'autre un vieux bistro Ils chantèrent ...
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Dans cette section hommage à Michel LAVAUD poète et chanteur creusois